COMPTE RENDU DE LA REUNION PORTANT SUR LA REVISION DE L’ANNEXE 10

SUR LA GESTION DES TEMPS DE TRAVAIL DES PROFESSEURS

23/10/2013

Le collège employeur, Mr GRISET, le service juridique, six présidents

La DGCIS – une représentante

Le collège salarié :           FO (2 représentants)

CGT (2 représentants)

CFDT (3 représentants)

CGC (1représentant)

 

Monsieur GRISET fait le constat que la problématique de gestion du temps des professeurs :

–          très complexe et demande beaucoup de temps

–          peu flexible d’un point de vu gestionnaire (idée de rentabilité)

–          les Conseillers Régionaux demandent plus de clarté dans la définition du temps de face à face

 

Il constate que les baisses d’effectifs d’apprentis demandent une adaptation qui passe par des missions complémentaires :

–         de promotion de l’apprentissage (olympiades, promotions)

–          des visites d’entreprises

–          actions commerciales

 

A l’heure actuelle, le système de calcul ne permet pas de bien gérer ces besoins et n’est pas suffisamment transparent pour les financeurs.

 

Il veut négocier :

–          une baisse du temps de face à face et  même un temps total de travail en contre partie de plus de flexibilité

–          Il est prêt à diminuer le minimum de 861 heures de face à face pour le rendre plus proche de ce qui se pratique aujourd’hui. Peut-être diminuer le 1435 H. Gagner plus d’amplitude  avec la charge de travail à la semaine (passer de 14-26h à 10-26h pour donner moins de cours en début d’année et plus quand c’est rentable)

 

En contrepartie :

–          définir ce qu’est un temps d’enseignement (« face à face réel »)

–          supprimer le lien automatique entre temps de face à face et temps pédagogique individuel

–          créer une catégorie « autres missions » non soumise aux pondérations entre temps d’enseignement et temps pédagogique individuel

–          ne pas cloisonner la nouvelle catégorie car elle peut être amené à évoluer (inclure les conseils de classe, commissions de disciplines, visites en entreprises etc.)

 

Les réactions des syndicats : tous s’accordent à penser qu’il ne faut pas supprimer le lien automatique entre temps d’enseignement et temps pédagogique car il en va de la qualité des enseignements ce qui reste essentiel pour la compétitivité aujourd’hui.

 

Chacun souhaite réfléchir et faire des propositions en décembre lors d’une prochaine réunion à programmer.